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Equiper son logement en fonction des risques climatiques, une bonne idée ?

les Logiciels d'Anticipation de Confort

Vous envisagez de faire des travaux de rénovation, comme par exemple vous équiper d’une pompe à chaleur ?

Savez-vous que des logiciels comme  Callendar et EFAR de Generali, vous aident à anticiper vos besoins en équipements (climatisation, pompe à chaleur…) en fonction de la classe énergie de votre logement et de l’évolution des températures autour de votre résidence ?

Le sujet vous intéresse ? Envie d’en parler avec nous ?
Participez à notre campagne en cours LA POMPE À CHALEUR : ET SI VOUS AUSSI VOUS SAUTIEZ LE PAS ?

À très vite sur EDF Pulse & You !

Atteindre la neutralité carbone : tous les scénarios passent par un mode de vie plus sobre

Plusieurs études publiées récemment s’accordent sur le fait que, s’il est impossible de prédire précisément combien nous consommerons d’énergie en 2050, atteindre la neutralité exigera de réduire drastiquement nos besoins.

Ils s’intitulent « Futurs énergétiques » ou « Transition(s) 2050 », ont nécessité des années de travail et pèsent des centaines de pages. En quelques semaines, plusieurs « scénarios » visant à atteindre la neutralité carbone ont été mis sur la table. Celui de négaWatt, une association défendant la sobriété, l’efficacité énergétique et les renouvelables ; ceux du gestionnaire national du Réseau de transport d’électricité (RTE), missionné par le gouvernement ; et, enfin, ceux de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), un établissement public placé sous la double tutelle des ministères de la transition écologique et de la recherche. L’Agence internationale de l’énergie (AIE) avait également présenté, en mai, ses pistes pour parvenir, en trente ans, au « zéro émission nette ».

Que retenir de cette profusion d’analyses sur les trajectoires possibles pour réussir à ne pas émettre davantage de gaz à effet de serre qu’il est possible d’en absorber ? S’ils ne sont nullement comparables, il en ressort finalement, de manière assez frappante, des messages convergents.

Réduire drastiquement nos besoins

Tous partent d’un constat : s’il est impossible de prédire précisément combien nous consommerons d’énergie en 2050, il est en revanche certain qu’atteindre la neutralité carbone exigera de réduire drastiquement nos besoins.

« Sommes-nous prêts à modifier profondément nos usages et à remettre en cause la manière dont nous nous déplaçons, dont nous occupons nos logements, dont nous mangeons ? »

Les gains en matière d’efficacité – qui permettent d’obtenir le même service, mais en utilisant moins d’énergie – permettront de faire baisser la consommation. Mais seront-ils suffisants ? La nécessité de réfléchir à la notion de sobriété s’est clairement imposée comme l’un des enseignements de ces travaux.

Cette notion, à laquelle vous avez réfléchi avec enthousiasme au cours du projet : « un mode de vie sobre, ça veut dire quoi pour vous ? » , est largement absente du débat public car éminemment clivant.

Sommes-nous d’accord pour faire évoluer des pratiques aussi fondamentales et structurantes, sans que cela pénalise les moins favorisés ? Ou souhaitons-nous préserver nos modes de vie actuels, quitte à rendre l’atteinte de nos objectifs climatiques encore plus ardus ? Bien plus qu’une question technique, il s’agit là d’un véritable choix de société.

RETROUVEZ L’ARTICLE EN INTÉGRALITÉ EN CLIQUANT ICI 

Sources : https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/12/16/neutralite-carbone-tous-les-scenarios-passent-par-une-meme-exigence-la-sobriete_6106240_3232.html#xtor=AL-32280270-[mail]-[ios]

Un mode de vie sobre : 1 semaine, 1 Initiative de marque (3/8)

Comme depuis plusieurs semaines, pour faire suite au projet : “Un mode de vie sobre, ça veut dire quoi pour vous”, nous vous présentons chaque semaine l’initiative d’une marque pour accompagner ses clients vers une consommation plus responsable et plus sobre. Nous poursuivons ce troisième épisode avec la nouvelle orientation de la Fnac Darty. 

La Fnac Darty veut guider ses clients vers un nouvel engagement plus responsable. Chaque produit vendu par l’enseigne possède un indice de réparabilité :  un score calculé à partir de leurs données de SAV. Pour améliorer l’indice de réparabilité de ses produits, Fnac Darty a développé un système qui permet de prendre en compte la fiabilité des produits et la disponibilité des pièces détachées. Ainsi, les clients ont à disposition des articles dans les meilleures conditions. 

“Et si on réparait l’aspirateur au lieu de le jeter ?”

Leur objectif ? « Nous avons décidé de devenir les champions de la réparabilité. C’est une démarche citoyenne que demande le consommateur. » exprime le directeur général, Enrique Martinez. C’est pour cette raison que l’entreprise souhaite déréférencer, de leur marketplace, les produits qui ne correspondent pas à leurs critères.  

Cette évolution engendre un développement conséquent dans leur business model. D’ailleurs, Fnac-Darty envisage également une croissance dans la vente de services et dans l’offre de la seconde main. Pour cela, l’enseigne s’appuie sur l’économie de l’abonnement, avec l’offre Darty Max créée en 2019 au coût mensuel de 9,90 euros.

Un abonnement pour faire réparer ses produits électroménagers

L’offre couvre la réparation de tous les appareils de gros électroménager du client. “Nous avons déjà 200 000 abonnés et visons 2 millions en 2025 grâce à l’extension du service à presque tous les produits techniques vendus par Darty. C’est le Contrat de confiance du XXIe siècle ! “ s’exclame Enrique Martinez. 

Cette initiative symbolisée par la création de l’offre Darty Max nous invite à repenser notre relation avec nos produits électroménagers au quotidien. Ces produits ne sont toujours pas recyclables et ont un impact non négligeable sur l’environnement. Privilégier la réparation d’un produit, c’est éviter la création d’un nouveau produit, donc la destruction d’un autre ! C’est bien plus raisonnable pour la protection de l’environnement.

Sources : 

https://lehub.laposte.fr/tendance/comment-marques-guident-leurs-clients-vers-meilleure-consommation

https://www.fnacdarty.com/wp-content/uploads/2021/02/CP_Fnac-Darty-Everyday_vDEF-1.pdf

 

Un mode de vie sobre : 1 semaine, 1 Initiative de marque (⅛)

Pour accompagner le lancement du nouveau projet de co-innovation, “Un mode de vie sobre, ça veut dire quoi pour vous”, nous vous présentons chaque semaine l’initiative d’une marque pour accompagner ses clients vers une consommation plus responsable et plus sobre. On commence cette série avec le nouveau programme de fidélité de Decathlon qui fait résonner activité sportive et engagement pour la planète. 

Le nouveau programme de l’enseigne de sport pour cette rentrée est le Decat’Club. Les clients l’attendaient avec impatience depuis la fin de l’ancien dispositif en 2018. Ce programme attribue de façon “classique”, des points en fonction des achats. Mais il possède également un volet communautaire responsable avec la possibilité de soutenir des actions pour la planète et de partager son activité sportive. Avec son programme de fidélité, Decathlon souhaite encourager les comportements vertueux. 

Concrètement, si Elisa, adhérente et membre du Decat’Club achète un short de sport pour aller courir, elle gagne des points (10 points par euro dépensé en magasin ou en ligne). Elle peut choisir de soutenir une action responsable, en achetant un produit d’occasion ou un article éco conçu ce qui lui fait également gagner des points. Ensuite elle va courir pendant 1 heure et peut transformer ce temps d’exercice en points. Elle trouve que son short est optimal pour courir, elle peut partager son expérience d’achat afin de récolter de nouveaux points. Enfin, elle peut participer à une activité éco responsable organisée par son magasin le plus proche afin de faire grandir son total de points. 

Les points qu’elle a obtenu vont pouvoir être échangés contre des cartes cadeaux, des livraisons gratuites, ou encore des séances individuelles de coaching sportif…

 

Source : 

https://lehub.laposte.fr/tendance/comment-marques-guident-leurs-clients-vers-meilleure-consommation

https://decatclub.decathlon.fr/

Notre nouveau projet de co-création : une appli qui croise qualité de l’air et conso d’électricité

Plume Air Report

 

Nous venons de lancer une nouvelle campagne sur l’application Plume Air Report. Nous vous proposons de contribuer à son évolution plutôt en donnant votre avis sur cette question : “trouvez-vous pertinent de rassembler au même endroit des informations sur la qualité de l’air et vos consommations énergétiques ?”

Plume Labs est une startup parisienne qui après avoir développé son site Web se lance dans une application mobile “Plume Air Report” qui vous permet de suivre en temps réel l’évolution de la qualité de l’air à Paris et dans quelques autres villes en France.

GRÂCE À PLUME LABS, SUIVEZ L’ÉVOLUTION DE LA QUALITÉ DE L’AIR

Grâce à la collecte de données et à leur traitement par un algorithme, Plume Air Report permet d’analyser la qualité de l’air et ainsi de prévoir l’évolution des pollutions urbaines. Associant Big Data, Open Data et Design, cette application est également un moyen d’aider à prendre conscience de la qualité de l’air de notre environnement et de faire évoluer nos comportements.

Il est intéressant pour nous de mettre en regard cette fonctionnalité avec celle de votre consommation d’électricité. Le lien qui peut être fait entre ces 2 éléments est ce qui nous intéresse aujourd’hui ! Ainsi, est-ce que cette application vous intéresse ? Que pensez-vous des fonctionnalités ? Quels types d’infos couplant ces 2 données aimeriez-vous recevoir ?

Postez vos idées et commentaires ici !

Un tirage au sort sera effectué parmi les meilleurs participants qui auront la chance de gagner un Purificateur d’air bionaire, un Parrot Flower Power et un Smart Herb Garden !

Pour télécharger l’application sur Android :

https://play.google.com/store/apps/details?id=com.plumelabs.air&hl=fr

Pour télécharger l’application sur Apple :

https://itunes.apple.com/fr/app/plume-air-report-dejouez-la/id950289243?mt=8

PROTÉGEONS LES ENFANTS DE LA POLLUTION

enfant-pollution

Les membres du rassemblement pour la planète et leurs partenaires ont présenté mardi dernier les résultats d’un sondage réalisé par l’IFOP pour Générations futures, démontrant que les questions de santé et d’environnement doivent être au cœur des futures programmes et politiques publiques.

De nos jours les enfants sont exposés dès leur plus jeune âge et durant toute leur croissance à de nombreuses substances dangereuses polluantes telles que les pesticides, les produits chimiques, les champs électromagnétiques… Or ces temps d’expositions et cette contamination chronique font partie des causes de maladies qui frappent ces enfants.

En effet de nombreux scientifiques des institutions en France et dans le monde l’affirment : l’exposition à ces substances toxiques compromet l’état de santé des enfants et menace même leur capacité de reproduction future.

Le sondage exclusif réalisé par l’IFOP en septembre pour Générations Futures, association membre du Rassemblement pour la Planète, montre que 90 % des personnes interrogées pensent que la mise en place de réglementations visant à réduire significativement l’exposition des enfants à des polluants chimiques toxiques doit faire partie des priorités en matière d’action de santé publique.

Il s’agit de différentes priorités :

  • Sanitaire : sur 385 000 nouveaux cas de cancers estimés en 2015 en France métropolitaine un nombre toujours plus grand est lié à une exposition à des polluants environnementaux ;
  • Environnementale : en 2015 plus de 92% des eaux de surfaces analysées étaient contaminées par les pesticides ; en 2012, près de 98 % de la population était exposée à des niveaux d’ozone dépassant les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et pour les particules fines, c’était le cas de 92 % de la population ; la majorité des espèces animales et végétales (60 %), ainsi que de leurs habitats (77 %), se trouvaient « dans un état de conservation défavorable » ;
  • Économique : Entre 150 et 260 milliards d’euros par an tel est le coût annuel estimé des perturbateurs endocriniens pour la société européenne ; 100 milliards d’euros par an est le coût annuel estimé de la pollution de l’air ;
  • Sociale : Il existe malheureusement des disparités entre les catégories sociales. Les personnes les plus défavorisées et les moins informées sont davantage exposées aux différents facteurs de risque.

Source de l’article : http://up-magazine.info/